Association des Chrétiens Protestants & Evangéliques pour le Respect de la VIE
L'ACPERVIE a été fondée le 8 Mai 1980 par Madame Lucie Olivier, en réaction aux lois assurant la libéralisation et l'organisation de l'avortement en France.
Notre association est indépendante de tout parti politique, de toute école philosophique.
Elle est chrétienne et se soumet pour ses écrits et ses actions aux seules Saintes Ecritures, inspirées de Dieu et contenues dans toute la Bible.
Mobilisons nous
UN DRAME CONSTITUTIONNEL?
« Nous Chrétiens Protestants et Evangéliques, citoyens de ce pays, refusons que l’avortement y devienne un droit constitutionnel. Notre motif est que « l’avortement est toujours et restera toujours un drame », selon les mots que celle qui fut, en son temps, employée au dessein de plusieurs d’introduire un droit à l’Interruption Volontaire de Grossesse dans la loi française. Cette loi se voulait prendre en compte les conditions impossibles rencontrées par des femmes au moment de transmettre la vie ; elle était restrictive vu la gravité de l’acte.
La malheureuse évolution des mentalités implique-t-elle le mépris envers ce « toujours un drame », qu’implique l’idée d’avortement comme droit fondamental ? Comment l’Etat français pourrait-il institutionnaliser le drame ?
En conséquence, nous demandons aux députés et sénateurs, députées et sénatrices de quelque bord politique qu’ils ou elles soient, de cesser de faire de cette affaire si douloureuse un marqueur de leur histoire personnelle ou politique.
Nous dirigeons aussi cet appel vers l’actuelle cheffe du gouvernement, Madame Elisabeth Borne et au président de la République, Emmanuel Macron. »
Le Président, Pasteur Jean Pira.
Mobilisons-nous contre la constitutionnalisation de l'avortement !
La constitutionnalisation de l’avortement :
Pour savoir comment votre député(e) a voté(e) :
https://www2.assemblee-nationale.fr/scrutins/detail/(legislature)/16/(num)/629#G6
Mais pour que cela arrive, il faut que les Sénateurs votent la même chose dans les mêmes termes.
Les Sénateurs se sont déjà opposés à un tel projet le 19/10/22, mais un effet partisan peut faire craindre un retournement de majorité au Sénat.
Voici le vote :
https://www.senat.fr/scrutin-public/2022/scr2022-8.html
Il est donc nécessaire d’écrire aux sénateurs de votre département pour manifester respectueusement votre refus d'une telle inscription dans la Constitution. A titre d’exemple:
Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur,
Vous allez bientôt réexaminer une proposition de loi votée à l'Assemblée nationale pour constitutionnaliser l'IVG.
L'avortement ne doit pas devenir un droit constitutionnel, car il aurait alors une valeur supra législative et n'aurait plus aucune limite légale.
Cela menacerait directement la clause de conscience des médecins et ouvrirait la porte à l'avortement à la demande jusqu'au terme de la grossesse.
L'avortement ne peut être considéré comme un droit constitutionnel car il ne vise pas un bien en soi. Le seul et unique droit supérieur qui existe dans ce domaine c'est le droit « au respect de l'être humain dès le commencement de sa vie » (Article 16 du code civil, dit « d'ordre public » posé en préambule du chapitre consacré à l'avortement dans le code de la santé publique).
De tels projets auraient des conséquences terribles sur la protection de l'enfant à naitre.
Votre Haute Assemblée a déjà repoussé un tel projet. Il serait souhaitable qu’une majorité renforcée puisse s’opposer à ces propositions inutiles et dangereuses.
Nous avons besoin au contraire dans notre pays du déploiement de politiques véritablement sociales de prévention pour réduire l'échec de l'avortement et permettre d'accueillir la vie, et nous vous sollicitons pour y contribuer.
Je vous prie de croire Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur en l'expression de mes sentiments respectueux.
NB: Il est essentiel de pouvoir écrire rapidement et nous vous remercions de votre action en ce sens.
Pour trouver les coordonnées de votre Sénateur/trice.:
https://www.senat.fr/elus.html ou https://www.senat.fr/senateurs/sencir.html
Si la démarche vous semble difficile, nous ouvrons un CAHIER DE DOLÉANCES aux sénateurs de la République française. Transmettez-nous ce que vous diriez à votre Sénateur pour le dissuader d’inscrire un droit à l’avortement dans la Constitution Française. Les présents au Centre Evangélique pourront remplir le Cahier sur place.
Le Président de l’Acpervie, Pasteur Jean Pira.
Deux propositions de loi des groupes parlementaires Renaissance et France Insoumise pour constitutionnaliser l'avortement ont été votées très récemment par la Commission des Lois de l'Assemblée nationale, sans qu'il n'y ait eu de réelle opposition à ce stade. Celles-ci doivent être examinées et votées en séances publiques les 24 et 28 novembre prochains.
Nous vous invitons à écrire aux députés de votre département pour manifester respectueusement votre refus d'une telle inscription dans la Constitution.
Pour trouver les coordonnées de votre député:
https://www2.assemblee-nationale.fr/recherche-localisee/formulaire
Les coordonnées mail du député que vous sélectionnez sont une fois que vous avez cliqué sur sa photo, à droite de celle-ci, contact, écrire à...
Proposition de lettre
Madame la députée, Monsieur le député,
Vous allez bientôt examiner à l'Assemblée nationale deux propositions de loi pour constitutionnaliser l'IVG.
L'avortement ne doit pas devenir un droit constitutionnel, car il aurait alors une valeur supra législative et n'aurait plus aucune limite légale.
Cela menacerait directement la clause de conscience des médecins et ouvrirait la porte à l'avortement à la demande jusqu'au terme de la grossesse.
L'avortement ne peut être considéré comme un droit constitutionnel car il ne vise pas un bien en soi. Le seul et unique droit supérieur qui existe dans ce domaine c'est le droit « au respect de l'être humain dès le commencement de sa vie » (Article 16 du code civil, dit « d'ordre public » posé en préambule du chapitre consacré à l'avortement dans le code de la santé publique).
De tels projets auraient des conséquences terribles sur la protection de l'enfant à naitre.
Je vous demande donc de vous opposer à ces propositions inutiles et dangereuses.
Nous avons besoin au contraire dans notre pays du déploiement de politiques de prévention pour réduire l'échec de l'avortement et permettre d'accueillir la vie, et nous vous sollicitons pour y contribuer.
Je vous prie de croire Madame la députée, Monsieur le député en l'expression de mes sentiments respectueux.
Il est essentiel de pouvoir écrire rapidement et nous vous remercions de votre action en ce sens.